Macau

Antoine Volodine, Olivier Aubert, Macau, [Paris] : Éditions du Seuil, 2009, 97 p. + [57 p. non paginées], ill. n. & b., coll. Fiction & Cie.

Pour mémoire :

[rabat de couverture]
Près de quinze ans après Le port intérieur, Antoine Volodine retrouve ses paysages familiers : les ruelles obscures de Macau, l’humidité sordide, la nuit où monologuent des personnages ambigus et sans avenir. Il ajoute ici un ouvrage à la vaste construction romanesque qu’il a entreprise en 1985, et qui compte actuellement plus de trente livres.

Olivier Aubert vit avec des appareils photographiques depuis une vingtaine d’années. Il les utilise pour réaliser explorations, reportages, enquêtes, séries et portraits. Il a travaillé à ce jour dans une trentaine de pays dont un grand nombre sont situés en Afrique et en Asie.

[p. 6]
Antoine Volodine a bénéficié,
pour la rédaction de cet ouvrage,
de la bourse Jean Gattégno 2008
du Centre National du Livre.

[51] Photographies : Olivier Aubert, 2008
Texte : Antoine Volodine

[4e de couverture]
Cela me plaisait de devoir être tué en Chine, sur une jonque à l’ancrage, devant un photogénique vieillard, dans une atmosphère chinoise saturée de puanteurs, de fumée de poisson frit, de tabac, de pétrole, d’eau sale.
Après tout, j’étais venu pour ça, pour en finir, pour être ailleurs et en finir.

  • présentation sur le site de l’éditeur :

[reprise de la 4e de couverture] +
Cela se passe à Macau. le narrateur, qui a passé sa vie dans les trafics et l’espionnage, est condamné par une maladie inorable. Son destin va être abrégé, puisqu’une mafia locale s’est emparée de lui pour le faire disparaître. Il est là, face à ses gardiens, un vieux chinois stoïque et une jeune coréenne plus jolie qu’il ne l’a cru dans un premier temps. Les souvenirs défilent, d’une vie aventureuse, dangereuse, souvent exaltante. On ne meurt jamais tout à fait chez Volodine.

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