Fin de bruine
La timidité d’une fleur de prunier
On dirait que du soleil va venir.

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Déjeuner au Saint-Martin avec T. et Marc Pautrel. Depuis une semaine au Japon en mission Stendhal pour enquêter sur Ozu, Marc semble déjà comme un poisson dans l’eau. Mais les traces d’un cinéaste mort depuis près de cinquante ans sont de plus en plus ténues, les connaisseurs de plus en plus rares…
Surtout pendant les congés universitaires.

L’onglet-frites est excellent, mais presque deux fois plus cher que le poulet-frites. On ne pourra peut-être pas toujours en prendre.
Puis, comme par un heureux hasard, on retrouve David à l’Institut, où il participe à une formation.

Depuis des mois, je tergiverse. Pas pour voter ou non : il faut voter. Mais voter utile ou vrai, c’est-à-dire Hollande ou Mélenchon, selon mes convictions. Ça dépendra de l’état des sondages à la veille du scrutin, pour qu’on ne soit pas dans la situation où aucun des deux ne serait au second tour…

Là, ce soir, par exemple ici, il y a des choses que je n’avais plus entendues depuis très longtemps, et qui font vraiment plaisir – sur ce qu’est l’humain. Sans manquer d’humour :

« […] martyriser les virgules, brutaliser les adjectifs et torturer les verbes […] » (Jean-Luc Mélenchon, dans le propos sur les bons sondages…)

httpv://www.youtube.com/watch?v=Zb8LsCd7OWo