Christian Jannone, « Bardo or not bardo d’Antoine Volodine », Revue L’Ampoule, n°0, p. 23-31.
Revue en ligne des éditions de l’Abat-Jour, basées à Bordeaux, disponible en pdf.
Pour mémoire :
Roman ou apparenté publié en 2004 aux éditions du Seuil dans la
collection Fiction & Cie, réputée pour son catalogue d’œuvres hors
normes.
Antoine Volodine appartient à cette catégorie
Lutz Bassmann, Danse avec Nathan Golshem, Lagrasse : Éditions Verdier, 2012, 192 p., coll. Chaoïd.
La page consacrée à l’ouvrage dans le site des éditions Verdier contient également un dossier de presse composé de copies de quelques articles.
Magdalena Silvia Mancas, « Du post-exotique postmoderne et du postmodernisme exotique : stratégies narratives chez Antoine Volodine », p. 181-195 dans Un retour des normes romanesques dans la littérature française contemporaine / actes du colloque des 24-27 septembre 2008 à l’Université d’Augsbourg (All.), dirigé par Wolfgang Asholt et Marc Dambre, Paris : Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2010
Dominique Soulès, « Post-exotisme et farcissure polyglotte. Des langues chez Antoine Volodine », Revue critique de fixxion française contemporaine, n°3, décembre 2011, p. 76-85.
Numéro de revue intitulé « L’écrivain devant les langues », dirigé par Dominique Combe et Michel Murat.
Article disponible à l’adresse suivante : http://www.revue-critique-de-fixxion-francaise-contemporaine.org
Emily Barnett, « Les cas Volodine », Les Inrockuptibles, n° 815, 13 juillet 2011, p. 97.
Cet article est publié dans le cadre d’un dossier « Livres spécial été / pseudos, le nom du non », avec des articles sur Carmela Ciuraru, Romain Gary / Emile Ajar, le genre érotique, André Pieyre de Mandiargues, Joyce Carol Oates, Catherine & Alain Robbe-Grillet et Marguerite Duras.
Pour mémoire :
Thierry Cecille, « De guerres lasses », Le Matricule des Anges, n°117, octobre 2010, p. 35.
Pour mémoire :
Les voix mêlées d’un auteur pluriel – Antoine Volodine – entonnent une symphonie discordante et funèbre pour un monde chaotique.
Au seuil du troisième millénaire, les rares lecteurs seraient rassemblés en une sorte de confrérie mystérieuse et honnie, hantant des bibliothèques-catacombe