Ces animaux qui nous hantent

Isabelle Rüf, « Ces animaux qui nous hantent », Le Temps, 28 janvier 2006. Article disponible sur le site LeTemps.ch (abonnement gratuit aux archives) Pour mémoire : Antoine Volodine compose une anthologie savamment construite de ses obsessions: illusions dévastées, atmosphère de fin du monde, rachetées par l’ironie et les envolées oniriques. Qui fréquente déjà l’univers d’Antoine

Cri de guerre

Isabelle Rüf, « Cri de guerre », Le Temps, 16 octobre 2004. Article disponible sur le site LeTemps.ch (abonnement gratuit aux archives) Pour mémoire : On rencontre, dans les livres d’Antoine Volodine, des shamanes, des femmes-oiseaux, des révolutionnaires radicales, de belles égarées sur les bords de la folie. Dans Le Port intérieur (Minuit, 1996), l’une d’elle, Gloria Vancouver, sombre

La traversée du monde flottant

Isabelle Rüf, « La traversée du monde flottant », Le Temps, 16 octobre 2004. Article disponible sur le site LeTemps.ch (abonnement gratuit aux archives) Pour mémoire : En treize livres, Antoine Volodine a conquis une large audience. Son univers n’a pas changé: même s’il fait référence au bouddhisme, il parle toujours de l’écroulement des utopies. Avec humour et tendresse. Antoine Vol

Le monde flottant où erre Dondog est un enfer fabuleux

Isabelle Rüf, « Le monde flottant où erre Dondog est un enfer fabuleux », Le Temps, 12 octobre 2002. Article disponible sur le site LeTemps.fr (abonnement gratuit aux archives) Pour mémoire : On retrouve, dans cette nouvelle geste d’Antoine Volodine, toute sa mythologie: un monde d’après l’apocalypse, où le temps n’a plus de sens, rédimé par l’humour noir. «Mes livres n&rs

Quarante-neuf chants pour la fin de l’homme

Isabelle Rüf, « Quarante-neuf chants pour la fin de l’homme », Le Temps, 11 septembre 1999. Article disponible sur le site LeTemps.ch (abonnement gratuit aux archives) Pour mémoire : De livre en livre, l’écrivain français crée un univers onirique d’après la catastrophe qui en dit beaucoup sur notre monde. Attaché à son poteau depuis des mois, Will Scheidmann tente de conjurer son ex

Le rire et le sourire ou comment narguer la crise

Elisa Bricco, « Le rire et le sourire ou comment narguer la crise », [revue en ligne] Publif@rum, août 2008 : [dossier] « Affronter la crise : Outils et stratégies / Parcours dans la littérature française contemporaine et ailleurs » / préparé par Elisa Bricco. Article disponible ici, sur le site de la revue virtuelle et daté d’août 2008 dans la page d’Archive. Le site f@rum (faculté en rése

L’instant critique chez Volodine

Bertrand Marquer, « L’instant critique chez Volodine », [revue en ligne] Publif@rum, août 2008, n° 8 : [dossier] « Affronter la crise : Outils et stratégies / Parcours dans la littérature française contemporaine et ailleurs » / préparé par Elisa Bricco. Article disponible ici, sur le site de la revue virtuelle et daté d’août 2008 dans la page d’Archive. Le site f@rum (faculté en r

Rire ou devenir Bouddha ?

Alain Nicolas, « Rire ou devenir Bouddha ? », L’Humanité, 9 septembre 2004. Article disponible sur le site de L’Humanité (décommandé aux utilisateurs de Firefox) Pour mémoire : Le dernier roman d’Antoine Volodine continue à explorer un monde ost-apocalyptique ou, entre vie et mort, se joue le destin de la littérature. Rire en lisant Volodine : une expérience inédite que propose, « Ba

Fécondité du désastre

Alain Nicolas, « Fécondité du désastre », L’Humanité, 15 mai 2008. Article disponible sur le site de L’Humanité (décommandé aux utilisateurs de Firefox) Pour mémoire : « Les noms ou les surnoms sont des manières commodes d’étiqueter les gens, mais ils ne signifient pas grand-chose. Il n’y a pratiquement rien derrière.  » Celui qui parle ainsi, dans Avec les moines-soldats, a cho

La Bouillabaisse de l’histoire

Alain Nicolas, « La Bouillabaisse de l’histoire », L’Humanité, 12 janvier 2006. Article disponible sur le site de L’Humanité (décommandé aux utilisateurs de Firefox) Pour mémoire : La terre désolée d’après la catastrophe. N’y survivent, entre lacs de bitumes et jungles polluées, que de rares humains, en voie de disparition. Dans ce décor ; typique de ceux où Volodine a coutum

La Mémoire d’un ange

Alain Nicolas, « La Mémoire d’un ange », L’Humanité, 19 septembre 2002. Article disponible sur le site de L’Humanité (décommandé aux utilisateurs de Firefox) Pour mémoire : Dondog, treizième roman d’Antoine Volodine, poursuit l’exploration de l’univers des Anges mineurs. Avec Dondog, Volodine nous entraîne dans la quête d’un réprouvé qui aurait pu être un de ce

Enquête sur une révolution enfouie

Jean-Claude Lebrun, « Enquête sur une révolution enfouie », L’Humanité, 9 décembre 1994. Article disponible sur le site de L’Humanité (décommandé aux utilisateurs de Firefox) Pour mémoire : ILS ne sont pas si nombreux, les romanciers qui s’imposent par un ton si singulier qu’ils installent tout de suite le lecteur dans un univers personnel, avec son propre langage, ses représentations

Un beau Chantier

Jean-Claude Lebrun, « Un beau Chantier », L’Humanité, 23 février 1996. Article disponible, en partie, sur le site des Éditions de Minuit. Et intégralement sur le site de L’Humanité (décommandé aux utilisateurs de Firefox) Pour mémoire : Le roman en bassin de carène Antoine Volodine publie aujourd’hui son quatrième roman, « le Port intérieur » (Les Editions de Minuit, 224 pages, 98

Du Nouveau sur Gloria

Tiphaine Samoyault, « Du Nouveau sur Gloria », La Quinzaine littéraire, 1er mars 1996, p. ppp. Article disponible sur le site des Éditions de Minuit. Pour mémoire : Antoine Volodine aime les histoires, le roman d’aventures, les pluies torrentielles de la mousson, les villes surpeuplées, le grouillement des animaux rampants. Il sait aussi réfléchir à ce qu’il fait en écrivant et entre les d

Cul-de-sac

Christophe Kantcheff, « Cul-de-sac», Les Inrockuptibles, 27 mars 1996. Article disponible sur le site des Éditions de Minuit. Pour mémoire : Roman d’amour pour une femme qui bascule dans la folie, Le Port intérieur en profite pour clouer au pilori la littérature et ses prétendues vertus cathartiques. « Si l’on s’amusait à associer chaque livre à une figure géométrique, les romans d

Huis clos à Macau

Patrick Grainville, « Huis clos à Macau », Le Figaro, 15 février 1996. Article disponible sur le site des Éditions de Minuit. Pour mémoire : « Cela commence par un canon de revolver vissé sur la tempe d’un type. Le tueur c’est Kotter, un agent au service du Parti et de sa section policière, le Paradis. Il bosse pour les Chinois. La proie c’est Breughel, prisonnier de son tortionnaire.

[sans titre / Grainville sur « Lisbonne dernière marge »]

Patrick Grainville, [sans titre], Le Figaro, septembre 1990. Article disponible sur le site des Éditions de Minuit. Pour mémoire : « Volodine se garde bien de baliser le parcours. En tout cas, tant de suggestions, de clés biseautés, de fausses pistes excitent le lecteur arraché au parcours linéaire pour découvrir une destinée protéiforme, une ubiquité étourdissante. On pense aux romans de Nicolas Mor

Un roman d’avenir

Jean-Maurice de Montremy, « Un roman d’avenir », La Croix, 22 septembre 1990. Article disponible sur le site des Éditions de Minuit. Pour mémoire : « La scène se passe à Lisbonne, dans un climat tendu. Car ce couple n’est pas un banal couple de touristes. Elle l’appelle “ mon dogue ”. Il lui répond, sarcastique : “ ma toute charmante ”. Kurt travaille pour les services secr

La fraction Volodine

Jean-Didier Wagneur, « La fraction Volodine », Libération, 6 septembre 1990. Article disponible sur le site des Éditions de Minuit. Pour mémoire : Une terroriste de la Fraction armée rouge en fuite raconte, dans un livre crypté, son expérience de guérilla urbaine. Récit dans le récit du faussaire Antoine Volodine. « (…) C’est à Lisbonne, rue de l’Arsenal, que débute l’histoir

Fête barbare

Dominique Guiou, « Fête barbare », Le Figaro, 18 novembre 1991. Article disponible sur le site des Éditions de Minuit. Pour mémoire : « Ces oiseaux-là ne sont pas aériens. Ils ont perdu leurs plumes. Leurs ailes blessées les empêchent de voler. Ils se camouflent sous des pardessus très amples et très usés. Les passants se retournent sur eux et les toisent avec une moue dédaigneuse ou offusquée q