Programme du séminaire de 2017, 3e Quarter :

• Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (Jeunet, 2001) : dans ce film, la plupart des personnages et des histoires ne sont pas comiques MAIS l’image, le montage, la musique, etc., et surtout le commentaire du narrateur externe contiennent un grand nombre d’éléments comiques… Peu de références à connaître.
• OSS 117 : Le Caire, nid d’espions (Hazanavicius, 2008) : dans ce film, le comique du personnage principal est évident, mais la dimension comique la plus importante est dans les références qu’il faut connaître pour bien en profiter : l’histoire des relations franco-égyptiennes, l’histoire des diplomates et des services de renseignements, les discours du paternalisme colonialiste (qui est une forme de racisme), les clichés français de la misogynie, l’existence d’une série de romans dont le personnage principal est ce fameux OSS 117 (avant James Bond, donc)…
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Nous étudierons le comique selon trois catégories : les situations, les actions, les paroles. Le comique peut être direct ou nécessiter de connaître une référence (historique, politique, parodique, etc.). Le comique peut aussi varier selon les cultures, les âges des spectateurs, l’humeur du jour, etc. Cela fait beaucoup de paramètres qui peuvent se combiner…

Programme du séminaire de 2014 sur le comique…

Nous verrons trois films ; chacun est comique à sa façon : Lire la suite...

Voici les trois sujets proposés, en relation avec les trois films du semestre. Choisissez un sujet et indiquez-moi sur quel(s) film(s) vous allez travailler.
Date limite de choix de sujet : le 12 janvier 2017.
Date limite de remise ou d’envoi par mail : le 10 février 2017.

Le thème de la vengeance est présent dans toutes les sociétés humaines et depuis la nuit des temps. Dans le cinéma français, il y a donc certainement des centaines de films sur ce thème… Voici les trois qui ont été choisis pour ce programme :

1. Jacquou le croquant (Boutonnat, 2007) – vengeance après une injustice de classe (sociale).
2. Le vieux fusil (Enrico, 1975) – vengeance après un crime de guerre.
3. La mariée était en noir (Truffaut, 1968) – vengeance après qu’un crime stupide a été caché.

La vengeance fait toujours suite à une injustice, un crime et à l’impunité du (ou des) criminel(s). La vengeance est toujours en deux parties, ou en deux temps : 1. le désir de vengeance qui se confond avec la préparation de la vengeance, 2. l’exécution du plan, avec succès ou pas…
Il faut donc être attentif à la temporalité diégétique (chronologie, durées) : le temps du crime, le temps de la préparation de la vengeance, le temps de la vengeance elle-même. Certains films peuvent cependant présenter la vengeance, ou une partie de la vengeance avant sa préparation ou sa cause… Dans ce cas, le temps narratif et le temps diégétique ne coïncident pas. Lire la suite...

Programme du 1er semestre

Le thème : filmer un groupe
Les films vus et étudiés :

• Saint-Jacques… La Mecque (Coline Serreau, 2005)
• Les femmes de l’ombre (Jean-Paul Salomé, 2008)
• Un extrait de Marusa no Onna (Itami J., 1987)
• Un extrait de Tampopo (Itami J., 1985, scène du restaurant français)
• Et si on vivait tous ensemble ? (S. Robelin, 2012, BA, jp)

Sujets de rapports proposés :

1. À partir des films du programme, de l’histoire racontée, des personnages et de leurs relations, expliquez comment le thème du groupe est développé. Vous pouvez décrire et comparer les actions de groupe, montrer comment le groupe est utile (pour ses membres, pour une seule personne, pour la société, etc.), vérifier si le programme a été achevé. Vous pouvez aussi décrire et comparer comment l’individu est traité par le groupe, dans quelles parties du film (quelles scènes) certains personnages sont mis en valeur, ignorés, utilisés, etc. Vous pouvez aussi tenir compte des contraintes cinématographiques…
2. Proposez un autre film sur le thème du groupe et étudiez-le comme dans le sujet n°1.
3. Résumez en détail (2 pages) le film Marusa no Onna, d’Itami Juzo (1987). Étudiez comment les groupes sont composés et utilisés dans le film, en donnant votre opinion sur les personnages et sur le film lui-même. (Vous devrez écrire tout en français, y compris les noms des personnages et des lieux).

N’hésitez pas à m’envoyer votre texte longtemps avant le 2 août pour que je vous propose des modifications, améliorations, etc.

Dans tous les cas, les rapports sont à rendre avant le 2 août 2016.

Les rapports doivent être écrits en français, avec le programme Word (ou équivalent, format .doc ou .docx), en police Times 12 (font & size), interligne 1,5, pages au format A4, avec des marges de 2,5 cm (margins) (haut, bas, gauche, droite).
Minimum : 5 pages (avec la page de titre, citations et références). Maximum : 10 pages (avec documents complémentaires, images, etc., si nécessaire). Lire la suite...

Pour le 21 avril 2016 :

Pour la remise des mémoires de 4e année, les étudiants doivent respecter le format et la date de remise officielle indiqués par le service des affaires des étudiants (Kyomu-ka).
Par e-mail (et sans passer par le Kyomu-ka), les étudiants peuvent m’envoyer leur mémoire :

• jusqu’au 21 janvier 2016 pour avoir des conseils avant la remise finale,
• jusqu’au 28 janvier 2016 pour la remise finale.

Après cette date, les mémoires ne pourront plus être acceptés.

Programme du 2e semestre : La musique au cinéma

• Tous les matins du monde (Alain Corneau, 1991)
• Les demoiselles de Rochefort (Jacques Demy, 1967)

Autres films sur la musique :

• La note bleue (A. Zulawski, 1991, critique)
• Paroles et musique (E. Chouraqui, 1984, informations)
• La famille Bêlier (E. Lartigau, 2014)
• Le concert (Mihaileanu, 2009)
• La pianiste (Haneke, 2001)
• Merci pour le chocolat (Chabrol, 2000)
• De battre mon cœur s’est arrêté (Audiard, 2005)

Sujets de rapports proposés :

Quantité et format : voir document permanent. Date limite pour les rapports de 3e année : le 4 février 2016.

Pour ces sujets, n’oubliez pas d’indiquer les titres des films en italiques, de citer « les paroles des personnages entre guillemets », et de situer les citations avec un format horaire simple, par exemple : (1:03:52 – 1:04:30), ce qui veut dire « à partir de 1 heure, 3 minutes et 52 secondes jusqu’à 1 heure, 4 minutes et 30 secondes ». Pour d’autres détails de ponctuation, voir ici. Lire la suite...

Films et musiques = films sur la musique + films avec de la musique

Soit la musique est le sujet du film (Tous les matins du monde), soit la musique n’est pas le sujet du film mais elle y a une grande importance (Les demoiselles de Rochefort).

Films étudiés :

Programme du 1er semestre : L’après-guerre au cinéma

• Hiroshima, mon amour (Alain Resnais, 1959, infos)
• La vie et rien d’autre (Bertrand Tavernier, 1989, infos)
• Le colonel Chabert (Angelo, 1994)
• Dodes’kaden (A. Kurosawa, 1970)

Sujets de rapports proposés :

1. À partir d’un des films du programme, expliquez en détail la situation de cette après-guerre : conséquences (négatives ou positives) de la guerre pour un pays ou pour une personne, nouvelles relations entre les gens, espoirs, attentes ou empêchements pour l’avenir…
2. Comparez les situations d’après-guerre dans deux des films du programme : points communs et différences, liens au passé historique et géographique, évolution des situations telle qu’elle est connue en dehors des films.
3. Dans les films du programme, montrez l’importance des costumes, des décors (et autres détails matériels) pour transmettre sans paroles l’idée de l’après-guerre au public.

Vous pouvez également proposer votre propre sujet.

Dans tous les cas, les rapports sont à rendre avant le 29 juillet 2015.

Les rapports doivent être écrits en français, avec Word, en police Times 12 (font & size), interligne 1,5, pages au format A4, avec des marges de 2,5 cm (margins) (haut, bas, gauche, droite).
Minimum : 5 pages (avec la page de titre, citations et références). Maximum : 10 pages (avec documents complémentaires, images, etc., si nécessaire). Lire la suite...

Les jeudis 14, 21, 28 mai, le séminaire sera au Goken, pour voir une cassette vidéo…

Programme du 1er semestre : L’après-guerre au cinéma

La vie et rien d’autre Lire la suite...